Un amour de vacances
Une histoire de vacances.
Raymond Savignac attendra le succès pendant quelques années avant que celui-ci, dans la France de l'après-guerre, ne devienne fulgurant. Son style, ses formes simples et ses idées fortes, ses couleurs tranchées, sûrement inspirées de la palette proposée par la côte fleurie qu’il a pu observer pendant les séjours trouvillais de sa jeunesse, confèrent à ses œuvres un caractère intemporel, marque des génies, qui fait toujours sa renommée aujourd’hui. En 1979, en pleine gloire, il décide de s’installer à Trouville où il passera sa retraite, exerçant ses talents pour la ville et au service de multiples manifestations locales. Vous pourrez en apprécier le résultat tout au long de la « promenade Savignac », sillonnant la ville au rythme de son travail, toujours pétri d’humour et surtout sur le mur nord de notre hôtel habillé d’une de ses fresques, fraîchement restaurée.
Mémoires d’un fou de Trouville.
Depuis la fenêtre de votre chambre, observez les traces dans le sable, c’est ici, au même endroit, à quelques mètres de la porte de l’hôtel, qu’en 1836, la vie de Gustave Flaubert bascule. Un voile s’envole sous les bourrasques iodées, c’est la cape d’Elisa Schlésinger. Il le ramasse et l’amour s’empare de tout son être pour ne plus jamais le quitter. Flaubert a 14 ans. Lui qui avait passé son enfance non loin de Trouville, au Domaine de Géfosse, propriété de ses grands-parents, sera désormais lié à Trouville et à sa plage jusqu’à la fin de sa vie. Elisa est partout chez Flaubert, sous les traits de Madame Arnoux dans Madame Bovary (qu’il reviendra écrire depuis Trouville en 1853), dans sa quête perpétuelle des mots pour décrire ce sentiment qu’il ne retrouvera jamais, dans Mémoires d’un fou, son premier ouvrage qui raconte ce moment et lancera sa carrière d’écrivain. Flaubert et Trouville, unis par le plus fort des sentiments, l’histoire ne pouvait pas être plus belle.
Sa plage, sa promenade, Savignac.
Raymond Savignac attendra le succès pendant quelques années avant que celui-ci, dans la France de l'après-guerre, ne devienne fulgurant. Son style, ses formes simples et ses idées fortes, ses couleurs tranchées, sûrement inspirées de la palette proposée par la côte fleurie qu’il a pu observer pendant les séjours trouvillais de sa jeunesse, confèrent à ses œuvres un caractère intemporel, marque des génies, qui fait toujours sa renommée aujourd’hui. En 1979, en pleine gloire, il décide de s’installer à Trouville où il passera sa retraite, exerçant ses talents pour la ville et au service de multiples manifestations locales. Vous pourrez en apprécier le résultat tout au long de la « promenade Savignac », sillonnant la ville au rythme de son travail, toujours pétri d’humour et surtout sur le mur nord de notre hôtel habillé d’une de ses fresques, fraîchement restaurée.
Mémoires d’un fou de Trouville.
Depuis la fenêtre de votre chambre, observez les traces dans le sable, c’est ici, au même endroit, à quelques mètres de la porte de l’hôtel, qu’en 1836, la vie de Gustave Flaubert bascule. Un voile s’envole sous les bourrasques iodées, c’est la cape d’Elisa Schlésinger. Il le ramasse et l’amour s’empare de tout son être pour ne plus jamais le quitter. Flaubert a 14 ans. Lui qui avait passé son enfance non loin de Trouville, au Domaine de Géfosse, propriété de ses grands-parents, sera désormais lié à Trouville et à sa plage jusqu’à la fin de sa vie. Elisa est partout chez Flaubert, sous les traits de Madame Arnoux dans Madame Bovary (qu’il reviendra écrire depuis Trouville en 1853), dans sa quête perpétuelle des mots pour décrire ce sentiment qu’il ne retrouvera jamais, dans Mémoires d’un fou, son premier ouvrage qui raconte ce moment et lancera sa carrière d’écrivain. Flaubert et Trouville, unis par le plus fort des sentiments, l’histoire ne pouvait pas être plus belle.
Prix Flaubert
Soutenu par le groupe Figaro ce prix littéraire intitulé « PRIX FLAUBERT » récompense une oeuvre littéraire de langue française de la rentrée d’hiver.
Présidé par David Foenkinos, le jury est composé de lecteurs avertis, connaisseurs de l’oeuvre de Flaubert et personnalités
du monde littéraire.
Le lauréat se voit remettre une dotation de 3000 euros
par la Maison Ruinart.
Pour sa part, l’hôtel Flaubert fera bénéficier au lauréat d’une semaine de résidence lui permettant de venir s’inspirer pour l’écriture de son prochain roman.
Le lauréat 2024 est Stéphanie POLAK pour "Les corps hostiles" paru aux éditions Grasset.
Une histoire de vacances.
La France est en congé. S’il y a une année pendant laquelle devait naître l’hôtel Le Flaubert, c’est bien celle synonyme éternelle des vacances, l’année 1936. Les congés sont maintenant payés et le flot de vacanciers s’empare des côtes et plages françaises.
Une histoire de vacances.
C’est donc en 1936 que l’architecte René Morin est commissionné pour la réalisation d’une bâtisse de style néo normand qui saura accueillir les baigneurs dans le plus grand confort de l’époque. Sa situation unique, directement sur la plage, participe grandement à un succès qui, quasiment un siècle plus tard, ne se dément toujours pas.
Mémoires d’un fou de Trouville.
Depuis la fenêtre de votre chambre, observez les traces dans le sable, c’est ici, au même endroit, à quelques mètres de la porte de l’hôtel, qu’en 1836, la vie de Gustave Flaubert bascule. Un voile s’envole sous les bourrasques iodées, c’est la cape d’Elisa Schlésinger. Il le ramasse et l’amour s’empare de tout son être pour ne plus jamais le quitter. Flaubert a 14 ans. Lui qui avait passé son enfance non loin de Trouville, au Domaine de Géfosse, propriété de ses grands-parents, sera désormais lié à Trouville et à sa plage jusqu’à la fin de sa vie.
Mémoires d’un fou de Trouville.
Elisa est partout chez Flaubert, sous les traits de Madame Arnoux dans Madame Bovary (qu’il reviendra écrire depuis Trouville en 1853), dans sa quête perpétuelle des mots pour décrire ce sentiment qu’il ne retrouvera jamais, dans Mémoires d’un fou, son premier ouvrage qui raconte ce moment et lancera sa carrière d’écrivain. Flaubert et Trouville, unis par le plus fort des sentiments, l’histoire ne pouvait pas être plus belle.
Sa plage, sa promenade, Savignac.
Raymond Savignac attendra le succès pendant quelques années avant que celui-ci, dans la France de l'après-guerre, ne devienne fulgurant. Son style, ses formes simples et ses idées fortes, ses couleurs tranchées, sûrement inspirées de la palette proposée par la côte fleurie qu’il a pu observer pendant les séjours trouvillais de sa jeunesse, confèrent à ses œuvres un caractère intemporel, marque des génies, qui fait toujours sa renommée aujourd’hui.
Sa plage, sa promenade, Savignac.
En 1979, en pleine gloire, il décide de s’installer à Trouville où il passera sa retraite, exerçant ses talents pour la ville et au service de multiples manifestations locales. Vous pourrez en apprécier le résultat tout au long de la « promenade Savignac », sillonnant la ville au rythme de son travail, toujours pétri d’humour et surtout sur le mur nord de notre hôtel habillé d’une de ses fresques, fraîchement restaurée.
Trouville, “Reine des plages”
C’est au 19ème siècle que la mode des bains, consacre Trouville en cité balnéaire. On découvre la ville, ses paysages, ses cieux, ses couleurs changeantes, ses lumières faites de clairs-obscurs et très vite les artistes, écrivains et peintres, investissent la ville. Il faudra pourtant attendre un siècle avant que l’hôtel ne sorte des planches et impose son style néonormand à la promenade. Trouville et l’hôtel le Flaubert se sont construits avec le tourisme.
Trouville, “Reine des plages”
Aujourd’hui on ne voit certes plus de crinolines défiler sur le front de mer mais Trouville a su préserver son charme. La parcourir c’est déambuler dans un roman aux côtés de Flaubert, partir à la recherche du temps perdu, Proust en poche, vivre une carte postale bigarrée, suspendre un week-end, une semaine, aux chaises des terrasses ou aux transats ensoleillés.